
De
: Sylvie LANGET (LANDRY)
A : Marc VERAT
Date : 25/09/2008 19:33:05
Titre : Marc VERAT CAFAS 1970
-----Message d'origine-----
Non..., je n'ai pas oublié les
cours d"étude doc" de Monsieur
Gentilini. J'aime toujours beaucoup mais mes yeux fatiguent ! Je me souviens
que ce Monsieur Gentilini me disait toujours que j'étais bonne en aquarelle et
en décoration. Il ne s'était pas trompé. Malheureusement, je
n'avais pas les mêmes dispositions
ailleurs... Ton idée est passionnante et
j'aime que l'on n'oublie pas les classiques. Par les temps qui courent, si on
n'est pas dans la tendance, on ne vaut rien. Toi, tu es dans les deux univers et
ça me plait bien. Je n'ai malheureusement pas pu tout lire et c'est dommage car
j'ai pu constater que, de surcroît, tu écris très bien ! Bravo pour cette
recherche intellectuelle, artistique, originale.
Je me souviens bien de
Richard Maubé, j'ai une grande photo de lui prise par un copain de publicité.
Un portrait penché sur sa table, en train de dessiner. Je ne vois rien sur
Internet le concernant ! Et toi, tu sais quelque chose ? J'aimais bien
aussi Henri Heidsieck. Il était hyper vieille France, mais très sympa et assez
marrant. J'étais allée
au début de cette année scolaire 68 à une soirée assez mémorable, chez une fille de
notre classe qui avait de longs cheveux noirs mais pas la jolie brune qui sortait
avec Stéphane et qui s'appelait Miky... Une autre ! Tu te souviens peut-être d'elle ? J'aimerais
retrouver une amie avec qui j'habitais alors et qui
était également dans notre classe. Elle s'appelait Christine, mais j'ai oublié
son nom de famille. Elle était brune avec des cheveux mi-longs bouclés, et de
jolis grands yeux noirs, pas très grande. Elle a eu un enfant avec un de mes amis
de Verdun, également aux Beaux-Arts à Reims, mais après mon passage : Michel dit
Chiquette. Tu as certainement connu l'année d'après (soit
68/69), Jean-Loup Ameslon. C'est un ami d'enfance de Verdun où j'habitais. Je
suis toujours en contact avec sa famille et son frère jumeau et je l'ai revu il y
a quelques années dans le Midi. Tu ne peux pas l'avoir manqué, c'était un "fou"
adorable. Il n'a pas changé du tout. Il est resté fidèle à lui-même malgré le
temps qui passe. J'admire ! Je me rappelle aussi
du
bizutage* dans une petite maison en pleine campagne, mais pas d'une main mal
placée... D'autant plus que j'étais sous la surveillance de mon cousin Denis Warin,
en Cafas cette année là, et chargé de veiller sur moi en ce lieu de
"perdition" que représentait les Beaux-Arts. En tout cas, je n'ai pas été traumatisée
par cet épisode ! J'ai arrêté les Beaux-Arts après cette année là, je n'ai pas été
admise en seconde année, trop occupée à m'amuser plutôt qu'à bosser si je me
souviens bien. Ensuite, j'ai fait tout autre chose pendant près de 15 ans.
Puis mariage, deux enfants, et je me suis enfin remise au dessin il y a 12 ans.
Je suis maintenant styliste dans la décoration. Je vends des décors
à des porcelainiers, des fabricants de textile, etc... et je commence à bien tirer
mon épingle du jeu. Heureusement que j'avais un mari avec un salaire, car je
n'aurais jamais pu évoluer dans ce domaine sans le gîte et le couvert assurés ! Pardon
si je suis bavarde, mais je ne suis
jamais retournée à Reims depuis cette année là !
Est-ce qu'il t'arrive d'aller au salon Maison & Objet à
Villepinte ? salon professionnel de la décoration, du design etc... J'y vais
systématiquement tous les ans en janvier et en septembre pour rencontrer mes
clients. C'est peut-être un endroit où l'on pourrait se revoir ? J'ai eu
aussi des échanges dernièrement avec Alain Margotton. Je ne le connaissais pas,
mais il était ami avec mon copain Jean-Loup Ameslon et j'en ai beaucoup entendu
parler à l'époque. Il me semble très sympa. Tu le connais certainement...
A
bientôt, Sylvie Tu peux voir mon blog en tapant mon nom Sylvie Langet dans Google.
*
Au sujet du bizutage, je garde souvenir du maître de cérémonie
barbu, vêtu en soutane d'abbé ventripotent, des thèmes variés ; en
ce qui me concerne un échange de vêtements derrière un paravent
avec Louisa une petite brune typée avec, en suite, un strip-tease
mais pas intégral. Marc

En retournant une
photo qui était toujours restée collée, j'ai retrouvé un "trésor
historique" : - Reims 1968 - "Cet énergumène te
présente ses meilleurs voeux pour l'année nouvelle. Désolé de les
envoyer si tard, mais hélas, je suis à l'armée depuis cinq mois.
Je t'embrasse." Je le découvre aujourd'hui, presque vierge
de toute lecture, comme un vestige de ce temps là, tellement génial,
tellement inoubliable ! Ce temps qui a fait de nous de grands enfants
incapables de tirer un trait sur le passé ! C'est signé Toff, c'est
du moins ce que je déchiffre. Je sais que tu vas te régaler avec
toutes ces photos de nos souvenirs, à moins que tu ne les aies déjà...

Sylvie Landry, août 1968

Devant l'Ecole des
Beaux-Arts de Reims en 1970 "Mais où êtes-vous donc passés
Chloé, Alex, Sylvaine et les autres ?" Cédric Antoine est le
second en partant de la droite et sa soeur Chacha prend la photo.
C'était également
le temps
où les jeunes-filles et les jeunes-femmes portaient
peu le pantalon, les robes et les jupes étaient même parfois bien
courtes. Cependant entre elles, la
grande question mais aussi la grande injustice restait déjà celle du physique puis de
l'âge. Avoir une plastique avantageuse constituera toujours un plus
incontestable et Sylvie semblait plutôt gâtée de ce point de vue et le peintre ou le photographe dans le choix de son
modèle ne fera que confirmer cette réalité. Heureusement, hier comme aujourd'hui,
l'éventail du goût
demeure large et nul besoin d'être un "top-modèle" pour plaire. Question
jolie fille et mis à part Sylvie, je garde un souvenir assez précis.
Celui de la paire de lunettes et, surtout, des jambes magnifiques,
de pur-sang, d'une fille de la classe. Toujours en jupe ou en robe,
elle n'était pas très mode et encore fidèle aux bas porte-jarretelles,
ce qui ne manquait pas d'attirer certains regards. Léopold Kretz,
en fin connaisseur, invita un soir pour une séance de cinéma l'élève
aux jolies jambes qui, bien candide, accepta. Je me rappelle encore,
en compagnie de Dominique Briffaut
et Michel Dacremont je crois, la confession amusée de notre camarade
nous racontant comment le vieil artiste avait, mais sans trop insister,
touché ses genoux.
En ces années là, la présence aux cours était obligatoire et les élèves se
voyaient donc presque quotidiennement, avec pour avantage, de pouvoir entre eux
tisser des liens et, plus tard, d'en conserver le souvenir. Des personnalités, des faits, marquent bien entendu plus que d'autres : Le
sage et sérieux Jean-Pierre Pellus, son exubérant et facétieux camarade Stéphane Drouet qui
avait inventé une forme bien particulière de théâtre de marionettes. Après
quelques préparatifs de mise en scène, Stéphane mettait son sexe plus
ou moins déguisé en action, à la manière d'un pantin attaché par un petit fil, pour
faire le spectacle. Un jour, il choisit de terminer sa représentation en urinant
en pleine classe, ce qui fit beaucoup rire Françoise, Annie Kartchenko et les
autres. Pierre Harel, Pierrot, déjà désabusé, passait le plus clair de son
temps, lorsqu'il n'encrait pas de couleurs le "cul" des
pierres lithographiques pour en faire des tirages genre art brut,
à tresser des lanières de cuir pour je ne sais quel usage*. Il travaillait
le soir comme serveur à la cafétéria de la Maison de la Culture.
Avec William Michaux, la Miche, quelque peu moqué parfois, j'avais
projeté de passer les vacances de l'été 69 aux Etats-Unis. Je
me rappelle encore du beau bruit de la Norton de Gilles Collet et
de sa grosse barbe, du patronyme facile à retenir de Poisson, des
mots de l'appariteur à lunettes et en uniforme "Pottier taisez-vous !",
et du concierge autoritaire, dénommé me semble-t-il Bock, chargé
de refouler les élèves arrivés trop en retard...
*
En fait, Pierrot faisait des accessoires, des sacs, des besaces, des ceintures.
Il y incrustait de jolis cailloux. Et j'ai toujours une de ces fameuses lithos
dont il m'avait fait cadeau pour mes 18 ans ! Dans mes mails précédents, j'avais oublié de parler
également d'Isabelle Beauchamp (sculpture) - queue de cheval, jean's et Clarks
- la grande amie de Nini. J'entends encore Ameslon chanter à tue-tête, en
descendant les marches du hall, la mort du président Pompidou et je revois
monsieur Mulphin, dans son costume marron, très droit, les bras dans le dos, lui
lancer son regard noir réprobateur... Régine
De
: Régine PETIT A :
Marc VERAT Date :
09/10/2008 17:34:49 Titre :
RE: Souvenirs Reims 1968_70
En effet, nous nous sommes croisés ! Je me
rappelle te voir passer dans notre atelier, toujours en coup de vent. Je ne sais
plus si c'était pendant mes années de pré-spécialisation, ou après, dans
l'atelier de Daniel Pillant. Je ne suis pas étonnée que tu ne me reconnaisses
pas ; déjà parce que nous ne fréquentions pas les mêmes personnes, ensuite parce
que je ne ressemblais pas à ce que je suis aujourd'hui. J'étais forte, cheveux
longs et raides, lunettes rondes, et toujours vêtue de long et de noir !
Hélas, plus aucune photo de l'époque pour étoffer ton site. Dommage. Je ne sais pas si tu te rappelles de tous ces gens que je vais te nommer
: Patrice Sanahujas, Annick Lagrive, Catherine Lecomte tous trois décédés
pendant ou peu de temps après les Beaux-Arts, Arielle Chassaing ou Dada pour
les copains, Dominique Briffaut (dit Pépette), Michel Dacremont (dit Mimi),
Pierre Harel, lui, je ne sais plus ce qu'il est devenu, Alain Margotton, Cédric
Antoine et sa petite soeur, Michaux et sa copine grande et blonde
dont le nom m'échappe aujourd'hui et qui est devenue plus tard sa femme.
Marie-Christine Richoux, Dominique Mercier, Dominique Thibault, Catherine
Salmeron et Chantal Thiebaux, Bernard Piette et sa soeur Marie-Claude, et puis
Jean-Loup Ameslon... Nous nous sommes pour la plupart perdus de vue et
retrouvés, et souvent reperdus de vue... J'ai bien en mémoire d'autres têtes ou
d'autres prénoms ; cette époque est encore très vivante pour moi, d'autant plus
que j'ai souvent l'occasion d'en reparler avec Daniel Pillant ; Voilà
Marc. Désolée de ne pouvoir faire plus... Cordialement,
Régine.

Avec
barbe et lunettes, Alain Margotton, sans doute l'un des rares d'entre-nous
à vivre de sa peinture

Dominique Briffaut, dit pépette mais la guitariste ?
Pougues,
le 10 octobre 2008
Cher
Cédric,
Au
tout début des années quatre-vingts, je m'inquiétai de ne plus recevoir
de nouvelles de mon ami Christian Bégué. Ami, lui, des Beaux-Arts
de Besançon et devenu urbaniste dans un grand Cabinet d'études à Luxembourg. Ce
n'est que quelques mois après que son épouse m'apprit que Christian
était décédé accidentellement au Burkina-Faso. Il laissait ainsi
une veuve et trois orphelines, dont une agée d'à peine deux ans. Ton
histoire dramatique m'annonçant d'abord l'assassinat, l'année dernière,
pour seul motif de lui voler sa voiture, de la mère de tes deux
fils puis, celui en 1991 de ta sœur Chacha me ramène vers la triste réalité des faits divers
et au drame de la vie pour ceux qui sont directement touchés. Je compatis
à ta peine et j'imagine fort bien qu'il ne peut être facile de sortir
indemne de telles épreuves. Sache que j'apprécie ton idée de
nous retrouver quarante ans après. Pougues n'est pas très loin de
Paris et je possède une assez grande maison, je te propose de venir
y passer un week-end. Tiens-moi au courant.
Je
te prie de croire à toute ma considération et à mon bon souvenir, Marc


Christian
Bégué, le fonds des plâtres antiques et la presse taille-douce
Le
site de Cédric : www.cedricmarieantoine.com
Face à "La Mare Seule", dans sa maison-atelier,
Cédric-Marie ANTOINE peint et se plait au
calme de sa demeure normande d'où sortiront céramiques, collages et
toiles. Ses travaux fileront au Japon ou en Amérique où il a eu un atelier
de 1992 a 2001. Ses études aux beaux-arts et son goût pour la diversité l'ont
amené à travailler sur tout support. Atypique, le travail de Cédric-Marie
ANTOINE est simplifié, non pas simple. Il n'a jamais été un peintre banal. il
crée, réutilise ses œuvres en tout ou partie, dépasse la création originelle et
la sublime sans cesse. Le matériau, le support, évoluent avec le temps. L'art de
Cédric aussi. Par exemple, ses fameux Insatsu. Cette technique d'impression
numérique d'origine japonaise permet à l'artiste
d'éditer de grandes surfaces de type lithographique. Qu'il les produise sur un papier de calicot ou, comme pour les dernières
épreuves, sur une mince feuille métallique, le résultat de ces "reprises" est
impressionnant. Et il s'agit en effet de reprise au sens
où un Kierkegaard l'aurait entendu. Les éléments préexistants semblent
n'avoir attendu que cette recréation pour s'exprimer enfin dans toute leur
mesure. Mesure de taille car les Insatsu sont spacieux et mesure musicale, car
l'harmonie rejouée sous cette forme, se dévoile enfin
dans ses notes les plus inattendues...

Cédric et Pépette
De : Chantal THIEBAUX A :
Marc VERAT Date :
09/10/2008 11:28:46 Titre : RE: Souvenir de Reims
Je suis désolée, Marc. J'ai tout perdu en Afrique du Sud et je n'ai
aucune photo du temps passé. Par contre si tu vas sur la page de Carole
Ménétrier elle a quelques photos de Reims. A bientôt !
-----Message
d'origine-----
Bonjour, Je vois que tu es très prolixe, à tout point de
vue. La photographe a du talent, quant au jardinage c'est une belle passion mais
la peinture aussi. Accepterais-tu d'évoquer tes souvenirs des années
1967-1970, tu en as forcément et peut-être même des photos ? Afin de te rendre
compte, je te propose d'aller sur
: http://pagesperso-orange.fr/verat/Souvenirs_Reims_1968.htm Avec mon
meilleur souvenir, Marc
La Fabrique Association 30 440 Saint Laurent le Minier Telephone:
04.67.73.34.42 Fax:04.67.73.52.26 E-mail: fabriq.association@wanadoo.fr Jean-François Laguionie :
Gérant Xavier Julliot : Production &
Direction technique Henri Heidsieck : Réalisation &
Direction artistique
L'avantage,
lorsque l'on est blond, c'est qu'avec l'âge les cheveux blancs se
remarquent bien moins. Henri, quarante ans après a guère changé,
même silhouette, même barbe. Depuis 1995,
La Fabrique Association propose des ateliers d'initiation et de réalisation de films. Dans les
écoles, collèges, lycées, médiathèques, entreprises, associations ; avec des
enfants, des adolescents, des adultes ; nos deux intervenants de cinéma
d'animation, Bernard Palacios réalisateur et Christine Sirotti, opératrice
réalisent avec vous : sketchs, clips ou films à thème...
De : Carole MENETRIER (SECQUEVILLE A : Marc VERAT Date : 10/10/2008 15:51:22 Titre :
...détonnant !
Bonjour Marc, Nous nous sommes sûrement croisés dans les couloirs
! mes souvenirs sont si lointain ! J'ai fait les deux années préparatoires
et je me souviens bien de " Gentilini " ! Si Jean-Pierre Adam te dit quelque
chose je l'ai revu dans une expo qu'il avait faite à Soissons. Philippe Parisot ,
l'as-tu connu ? et Corinne Jacq ? Line Cheutin ? connais-tu Frédéric Voisin
? merci pour la référence, je vais y faire un tour. Quant à moi, à part aimer
restaurer objets et meubles, pour moi-même, et faire la "maçonne" de mes vieux
murs, l'école des Beaux-Arts fût un passage, heureux ! ! ! bien
amicalement Carole
Merci de ta brève
réponse. Chantal Thiébaux m'a indiqué que tu possédais sûrement quelques photos
de cette époque ? Qu'en est-il ? Les noms que tu me cites me parlent guère,
je vais voir sur Internet. A bientôt, peut-être. Marc
HOUPS ! oui, j'ai répondu avant de voir tes peintures, tes sites,
n'ayant pas fait la curieuse avant de voir qui est ce "beauzalien" inscrit il
n'y a pas si longtemps sur Copains d'avant ! je viens de prendre le temps de le faire !
de comprendre ta démarche, tes peintures, tes réflexions, apprendre aussi ce
mouvement Dada, moi, qui suis restée dans mes "classiques" ! mais
toi qui es-tu... Je ne possède aucunes photos de cette époque,
c'est-à-dire prises aux Beaux-Arts. J'ai fourni des photos anciennes à Chantal en lui
indiquant le site internet. Y-a-t-il encore tant à découvrir ? à bientôt,
peut-être ? Carole

La
salle des 2ème année CAFAS en 1968-69
----- Original Message ----- From: Régine
Saint-Arnauld To: marc-verat@wanadoo.fr Sent: Sunday, October 12, 2008 12:21
PM Subject: Ecole des Beaux-Arts
Hello Marc,
Ouf, c'était dur de trouver une seule photo de moi de
l'époque ! Mais bon, il m'en reste une... sur mon permis de conduire
!

J'espère que tu pourras l'isoler du fond afin que le
permis n'apparaisse pas ! J'ai trouvé aussi une photo de Catherine Lecomte qui
n'a dû faire que deux années... Il m'est revenu en mémoire quelques noms : Nini, cette
grande blonde dont je te parlais qui était la copine et est devenue l'épouse de
Michaux (Lamiche) ; et puis Martine Noël (elle n'est restée qu'une ou deux
années), "Fanfan ou Framboise" pour Françoise qui a fait sculpture, Jean-Marie
Miriel (gravure), Patou (gravure et/ou sculpture), Annet Perrin (aujourd'hui
sculpteur sur verre en Ardèche - il crée et restaure des vitraux également),
Didier (un grand costaud roux barbu, le pote d'Annet, qui était en sculpture),
et puis Patrick Plusse (publicité ?) et Jean-Pierre Grasset (j'ai vu sa fiche
sur Facebook ; je peux par ce moyen lui envoyer un message de ta part si tu
souhaites qu'il participe à ta page "souvenirs")
En lisant tes échanges avec Cédric, j'ai été très
secouée d'apprendre la fin tragique de Chacha ! Et puis celle de la mère de ses
enfants. Quelle épreuve dans une existence... J'ai moi-même perdu brutalement mon fils dans un
accident de voiture - aujourd'hui justement ça fait pile 12 ans. Oui, ça marque une
vie. Mais la violence et la cruauté qui ont entouré la fin des "femmes de sa
vie" sont horrifiantes. Il faut une sacrée force de caractère pour rester
"intact" après tout ça... J'espère que ta vie, Marc, est plus reposante. Ainsi que
celle de nos anciens amis qui ont partagé avec nous cette tranche de
vie.
Cordialement, Régine
J'ai bien
reçu message et photos et je te remercie vivement pour ta contribution. Je
vais ajouter tout ceci à la page. Si quelque chose te dérange,
préviens-moi. Ma vie de fonctionnaire-enseignant réserve peu de surprise et
j'attends la retraite... J'ai tout de même vécu trois ans en Argentine, alors
que d'autres remplissaient leurs obligations militaires, puis signé
un contrat de peintre avec le producteur de Mike Brant. J'ai cessé de peindre depuis cinq
ans et je ne pense plus m'y remettre. A
bientôt, Marc
De : Régine
Saint-Arnauld A : Marc VERAT Date : 13/10/2008 11:01:08 Titre : RE Souvenirs Reims 1968_70
Je viens de me souvenir du nom
de famille de Didier (le copain d'Annet) et le préciser conviendrait sans doute
mieux que sa description ! Il s'agit de Didier Menu. Je vois en effet que
ta vie est relativement paisible en tant qu'enseignant ! Pas besoin de courir
sans cesse après le "cachet" ! Ce qui est mon cas ; ce n'est jamais de tout
repos et toujours angoissant. Pas d'expo ? Parce que tu as quand même une
belle oeuvre derrière toi. Heu... quand je dis "derrière", ce n'est pas pour
faire référence à nos âges, mais c'est parce qu'il y a de la production !!!
Cordialement, Régine.
Pas de problème pour
ton Mail et le reste. "Pas besoin de courir sans cesse après le cachet ! Ce
qui est mon cas ; ce n'est jamais de tout repos et toujours angoissant".
Pourrais-tu apporter quelques précisions ? Donne-moi des références, afin que je puisse me rendre
compte.
J'écris dans le domaine des "sciences humaines"... ça va de la
psy à l'astro en passant par le feng shui. Tu tapes Régine Saint-Arnauld sur
Google et tu trouves. Sinon, j'écris en ce moment sur Vioo.com ; très "astro
nana" ; pour rire, voici quelques liens
: http://www.vioo.fr/Astro/articles/Astro-lingerie-quels-dessous-selon-votre-signe http://www.vioo.fr/Astro/articles/Astro-du-monde-si-vous-etiez-un-lieu http://www.vioo.fr/Astro/articles/Astro-Quel-pere-est-il http://www.vioo.fr/Astro/articles/La-mode-signe-par-signe J'écris
aussi en ce moment pour un magazine hors-série Maxi Bah ! quand j'ai fini un
bouquin je dois tout de suite penser au suivant... J'écris aussi ponctuellement
pour la presse ou le web. Alors quand la commande est rendue il faut trouver
autre chose. Je vis de ma plume, je fais parfois aussi quelques collages pour
des illustrations magazines ; cependant c'est dur ! Par exemple, je n'ai RIEN
en vue pour 2009 ! C'est grisant la liberté... mais... Enfin, je pense me
trouver un agent.... D'ailleurs, il faut que
je m'y remette... la dead line est pour le 20 !

Daniel Pillant venu (de Reims) à la fête organisée pour la
sortie de deux de mes bouquins.
J'ai vu et j'ai
commandé sur Amazon "Le Feng Shui des paresseuses". Si je comprends bien, toi et
Chantal Thiébaux possédez au moins un point commun.
----- Original Message ----- From: Marc VERAT To: reginesaintarnauld Sent: Friday, October 17, 2008 9:04 AM Subject: Ton petit livre
Bonjour Régine,
Comment vas-tu aujourd'hui ? J'ai lu... L'écriture est alerte et très vivante,
l'ouvrage se lit très facilement. Le problème, pour moi, vient du sujet. Sans
doute trop cartésien, j'ai bien du mal à adhérer au Feng Shui. Je compte toujours sur ta collaboration, tu racontes si
bien que ce serait dommage d'en rester là. Et les filles, ou plus exactement les femmes
désormais, n'ont-elles pas plus de facilité à se livrer ? Même à travers quelques phrases
simples, restons en
correspondance. Bien amicalement et au plaisir de se revoir,
peut-être à Reims, à Pougues, à Paris ? Marc
Je me disais aussi... "Tiens, un homme qui s'intéresse
au Feng Shui !" Mais bon, pourquoi pas... j'ai des tas de copains qui surfent
sur les arrêtes de l'irrationnel... Dans ce que j'ai écrit de plus "rationnel" et encore
! c'est une étude sur les prénoms avec un fond de psychogénéalogie ; ou le
"Sexe Zen" ! Enfin, tu te dis cartésien, mais à la vue de ton œuvre
ce n'est pas du tout ce que je ressens de toi. Tu entoures la logique
(l'anatomie, ta base) d'une super part de rêve... Donc : les pieds sur terre et la tête dans les étoiles
? Quand tu écris : "Je compte
toujours sur ta collaboration, tu racontes si bien que ce serait dommage d'en
rester là !", ne serais-tu pas en train de me prendre par les sentiments,
là ? Rires. D'ailleurs, à ce sujet, je racontais à Jean-Pierre Grasset que je me rappelais très bien de l'Alfa-Roméo rouge de son
prof Boden, de la MG verte décapotable de Gilou qui était en gravure et très pote
avec Pierre Harel, des virées à Paris avec Pillant. On lui faisait arrêter sa
voiture tous les 20 km en prétextant une pause pipi ! des pots entre amis au
Colibri ou au Parvis, des fêtes à la Sablière, nos délires à la Maison de la
Culture avec Robert Hossein et sa troupe...
Les femmes ont-elles plus de facilité à se livrer ?
Humm ! je crois que c'est juste une question de tempérament, non ? Tu crois
que ça viendrait de nos hormones ? Mais c'est vrai que toi, tu restes bien
mystérieux. Tu ne te racontes pas ! Dis m'en plus... Alors oui, bien sûr, je serai ravie que l'on reste en
contact. Et de nous (re)voir aussi. A Reims ? Heu...
je n'y vais qu'une fois par an à peu près, et toujours en coup de vent.
A Paris, pas de problème : j'y suis ! Mais y viens-tu,
toi ? A Pougues ?... mais je ne connais personne à
Pougues !!! Je t'envoie une invitation pour une inscription sur
Facebook ; une manière rigolote de rester en contact les uns avec les
autres... Tu me demandais comment j'allais aujourd'hui ? Hé bien
je suis prête à crier victoire parce que je vais pouvoir remettre ma commande
dans les temps. Ensuite, super contente parce que je me prévois d'aller voir la
rétrospective Duffy au Musée d'Art Moderne, j'ai bien besoin de ses couleurs et
de sa poésie, et puis j'irai sans doute faire un tour à la Fiac. Je te retourne également la question : et toi, comment
vas-tu aujourd'hui ?
Allez, je me remets au travail ! Amitiés, Marc ; et à bientôt, Régine.
----- Original Message ----- From: "Jean-Pierre GRASSET" To: <marc-verat@wanadoo.fr> Sent: Tuesday, October 14, 2008 12:12 AM Subject: Bozar?
Hello Marc, Je viens de recevoir un message via Facebook
de Régine Petit. Je te donne quelque infos que je vais chercher bien loin
dans mes souvenirs. Le nom de Marc Vérat me dit bien quelque chose (
semi-homonyme gastronomique...) mais j'ai du mal à suivre... Je dois faire un
vrai travail de mémoire pour remettre des noms sur des visages et
vice-versa. Je crois que je suis rentré à l'école en 69, que j'ai ensuite
suivi la voie publicité, la plus méprisée des "artistes", dans la classe de
Bodenschatz, décédé depuis parait-il. Je me souviens d'Arielle Chassaing
aujourd'hui mariée avec un pharmacien et vivant à Mourmelon le grand. Je me
souviens également d'Henri Heidsieck qui nous prêtait sa cave pour jouer de la
musique avec Michel Gaspard (archi), Hubert Néault (indien amérique du
nord) et de Jean-gabriel Donnet en gravure et que j'ai contacté par mail il y a peu
mais sans suite pour le moment ; de Patrick Lebert qui a quitté l'école très
rapidement et que je vois de temps en temps. Cédric Antoine était en classe
céramique et il me semble qu'il aimait Erik Satie...la prof s'appelait Bonnot
? J'ai connu Bernard Piette qui était de Mourmelon, comme moi, avant qu'il ne
rentre à l'école et je ne me souviens absolument pas si on a été présent
durant la même période. Je me rappelle de tous les profs, à part la ou
le prof de déco. Je me souviens que Gentilini avait une Floride ou une
caravelle Renault, Boden, une Alfa rouge. Que Mulphin ne nous inspirait que
des moqueries et un grand respect pour Kretz et Macquard. Comme je l'écrivais à Régine, je n'ai pas de documents d'époque à ma
connaissance. Je verrai chez mes parents à Mourmelon. Question boulot : je suis
réalisateur, surtout de films documentaires et publicitaires. je vais dormir après une dure journée
pour TF1... la garce ! Par
contre n'hésite pas à me contacter. La mémoire est une fonction qui a
besoin d'outils pour donner le meilleur d'elle même.
Bien à
toi Jean-Pierre Grasset
Marie-Christine Cadiau-Richoux est sculpteur. Elle travaille la terre,
esquisse la forme, lisse un arrondi, équilibre une structure, creuse une courbe.
Depuis vingt ans, elle guide des élèves, leur propose des thèmes de travail, les
corrige, leur parle d'art. « Je vis décemment de mon métier, mais je travaille
beaucoup. Et ce qui a été le plus dur, c'est d'abandonner mon propre
travail d'artiste. C'est un métier prenant que d'être professeur
de sculpture. Car non seulement il y a l'animation du stage, mais aussi la
préparation, le travail du thème de la séance.» Elle sourit du fond de ses yeux noirs, agite
ses boucles d'oreille de bois, « J'aimerai un peu ralentir, pouvoir me recentrer
sur mon travail à moi ». Elle a commencé à guider des élèves en 1985. Elle avait
fait cinq ans de Beaux-Arts à Reims, puis s'était inscrite aux Beaux-Arts à
Paris : dès le début de ses études, « Je n'ai pas eu d'hésitation. Dès que j'ai
eu touché la terre, j'ai été complètement passionnée. La partie gagner sa vie ne comptait pas,
,je ne m'en souciais pas. On
était tous comme ça, on vivait tous de petits boulots sans trop se soucier de
savoir si on trouverait des débouchés professionnels ». La roue tourne. Elle
a deux enfants, s'inquiète de l'avenir. Et elle commence par passer une licence
d'arts plastiques, espérant enseigner dans l'éducation nationale. Mais il n'y a
pas de poste disponible. « Alors j'ai pris mon CV sous le bras, et j'ai demandé
autour de moi ». C'est Didier Nicol, le directeur de la MJC, qui lui donne sa
chance : l'atelier débute en 1985. « Il m'avait dit que ce genre d'atelier, ça
marchait la première année, la deuxième, puis ça s'arrêtait la
troisième ! ».
Dominique
Thibault Trop gourmande de couleurs, j'ai quitté la gravure et choisi
l'illustration que je pratique depuis 1980. J'aime habiller de garance et de vert
amande les lutins, donner au blanc la légèreté des flocons de neige, dorer de
terre de sienne les gâteaux et les pains d'épice, pailleter d'or un ciel de nuit
et surtout dessiner tout ce qui est petit. J'ai participé à une trentaine de
livres. Quinze en tant qu'illustratrice "solo", les autres étant des ouvrages
collectifs, publiés par les éditions Gallimard, Actes Sud Junior, Bayard
Presse, Nathan et Hachette. Technique utilisée : aquarelle et crayons de couleur.
Si vous voulez en savoir plus, n'hésitez pas et promenez vous dans ce site en
compagnie du bonhomme de pain d'épice. http://dominiquethibault.free.fr/AccueilF.htm
Oeuvres gravées – Ancien collège des Jésuites – Reims – 12 mars / 28 avril 2007.
L’un
des sens de « intaglio », en italien, est « gravure », qui se dit aussi
« incisione ». Avec quelques gravures d'anciens élèves de l'atelier
de Daniel Pillant : Dominique Briffaut, Michel Dacremont, Marc Vérat,
Annick Lagrive...
Très amie avec Françoise mais Annick a poutant choisi de mettre fin
à ses jours.

Une
avancée de Mai 68 ! La possibilité donnée aux garçons de rendre
enfin visite aux filles de la cité universitaire.
De :
Ennuyer PINET A :
Marc VERAT Date :
14/10/2008 21:44:01 Titre : RE: Souvenir des Beaus-Arts
Bonsoir marc, Je ne pense pas que nous ayons pu nous rencontrer
puisqu'en 68 ,j'ai commencé à enseigner en septembre , après avoir obtenu le
CAFAS au printemps ; fin en " queue de poisson ", mai 68, revu
personne... mais des souvenirs, de 1965 à 1968, j'en ai ! Des photos
non, pas d'autre que celle qu'un copain d'alors avait faite de moi. Je
faisais partie de la délégation qui était allée travailler en Italie, à
Florence, lors des inondations, épisode inoubliable, ,j'ai d'ailleurs donné
ce prénom à ma fille... Michaux, Poirel, Vuadelle, Goulet... nous étions
dans la même classe. Macquart, Gentilini, Boden, Pillant, Souvigné, Kretz, Bazin, Dromard...
tous furent mes profs. J'avais des copains dans d'autres
classes et en archi. J'ai peu la mémoire des noms, seuls les visages restent
dans mon esprit, quelques uns lus sur ton blog me rafraîchissent la mémoire,
je vais y penser ! j'ai encore des cartes de voeux de mr Mulphin avec qui
j'ai correspondu à l'occasion des 1° janvier quelques années, après mon départ de
Reims. J'ai enseigné les arts plastiques de septembre 1968 à juillet 2007,
et j'ai aimé ce métier ! même s'il me laissait peu de temps pour les
créations personnelles. Je suis maintenant retraitée et fort occupée par tous mes
petits fils de 7 à 1 an. Promis, si des anecdotes me reviennent , je te les
envoie. bien amicalement d pinet
De : Edith SENES (BARON) A : Marc VERAT Date : 17/10/2008 21:17:27 Titre :
Un bonsoir du sud !
Bonsoir,
Je n'avais jamais vu ce que vous peigniez,
cela me plait comme
style et c'est à mon goût. Du fait, ,j'ai mis votre adresse dans mes favoris. Je viens de relire votre parcours,
quand vous avez fait votre
dernière année à Reims moi, avec mes 17 ans, je faisais ma première année, peut-être
que nous nous sommes croisés ? Etiez vous en gravure, ou ailleurs, je me souviens
de l'atelier de gravure, ma classe était juste à côté. Votre visage me dit
quelque chose, avez-vous connu un élève de sculpture : Stéphane, je ne sais que son
prénom, il avait le crane rasé, et une de ses réalisations était exposée dans le
hall, c'était des sphères en cuivre ou un autre métal jaune. J'aurais aimé savoir mieux dessiner pour pouvoir
faire gravure, mais du coup j'ai choisi céramique, où j'ai
rencontré un jour Cédric Antoine, avec qui je suis en contact par le net grace à "Copains
d'avant". J'ai aussi connu Margotton qui venait voir Catherine Potron également
en
céramique. Voilà, j'ai beaucoup de bons souvenirs de cette période, mais je
suis en
décalage avec vous.

Je vous dit bonsoir et vous souhaite un bon week-end,
Edith
Catherine Potron
- Sculpteur
céramiste, Peintre Place de la Recluse 07260 Joyeuse tel : 04 75 88
97 95 Atelier : 08 77 05 95 99
1973 Diplôme national des Beaux Arts (Céramique) 1971 CAFAS Beaux Arts Reims 1996-1998 Sculpteur résident de la
ville de Béziers
Que Catherine travaille la terre,
la céramique ou la peinture, on retrouvera toujours cette inspiration poétique d’un
univers architectural baroque, imaginaire, illuminé et
vertigineux, univers de cités englouties, de civilisations
perdues dans
lesquels l'oeil se perd. Qui peut bien habiter ces palais
antiques, sinon ses propres songes ? A première vue ces
villes semblent désaffectées, mais en fait, on découvre dans
leurs méandres en s’y promenant une multitude de sensations, comme des souvenirs
d’enfance qu’on croyait perdus... La lumière
est présente, accrochée aux balustres, aux escaliers, filtrant par les
ouvertures, source lumineuse toujours
porteuse d’espoir et de mystère.

Mais
qu'est-elle donc devenue ?

Catherine
Salmeron a envoyé cette photo, mais quel âge a-t-elle, adolescente
ou jeune-fille ? 20/10/2008
COUCOU !!! C'est l'année
précédant mon entrée au Beaux-Arts, donc j'avais 15 ans. C'était l'année 69,
année érotique ! Je ne pense pas que tu
te souviennes de moi car nous n'étions pas de la même promotion, j'étais très
jeune et peu recommandable. Exemple : j'ai pris des acides avec Jean-loup et
Gigi et j'ai bu plus que de raison avec Régine... Coquillette
m'envoyait souvent dans le couloir car j'étais indisciplinée. Jean-Loup
m'avait surnommé fa-dièse. Quelle époque ! Après les Beaux-Arts, j'ai fait
mon chemin en travaillant énormément, je ne m'en suis pas trop mal sortie et je
suis devenue presque raisonnable. Je pense me souvenir de toi à cause d'un
look un peu spéce : grand avec un long manteau et un attaché-case
?
De :
Claudine CHOLET A :
Marc VERAT Date :
20/10/2008 10:42:17 Titre : RE: Souvenir Reims 1967_70
bonjour
Marc, excuse-moi, je n'arrive pas à ouvrir cette page de souvenirs
avec mon ordi ? Sinon que raconter c'est si loin et il s'est passé
tellement de choses ! tu as quel âge toi maintenant ? moi je suis de 1949, les
années 68 j'étais aux Beaux-Arts, de ces années je revois Francine Claisse, j'ai revu aussi Olivier Liégent qui faisait une exposition dans ses ateliers et Patrick
Plusse, tout ces noms te disent quelque chose ? Tu étais dans quel atelier
? moi au dernier
étage en décorateur-ensemblier, j'ai quitté l'école en juin 1971
pour me marier. A bientôt
biz claudine
OLIVIER LIEGENT (né en 1952)
« DE LA SCULPTURE A L’OBJET »
Vingt-cinq ans de recherches sur le découpage et le
pliage de l’acier ont permis à Olivier Liégent de devenir un des artistes
importants de l’art concret en France. Son travail faisant intervenir
la couleur est unique et révèle une grande sensibilité à la lumière. Continuant les travaux de recherches sur le relief initiés par Matisse et
ses papiers découpés, poursuivi par Jean Arp et ses reliefs en bois, puis par
Frank Stella avec ses «relief painting», Olivier Liégent s’inscrit naturellement
dans le courant historique de l’art minimal des années 1970 dont l’esthétique
est née des matériaux et techniques industriels. La transition de la
sculpture à l’objet du quotidien est aujourd’hui naturelle. C’est
pourquoi utilisant sa maîtrise du volume Olivier Liégent s’attache aussi à la
création de mobilier. Il introduit alors l’art dans notre environnement,
adoptant une démarche opposée à celle de Marcel Duchamp, qui élevait les objets
du quotidien à l’art. Olivier Liégent nous interroge ainsi sur l’art de
notre époque.
Bonjour, Marylène n'a pas souhaité que son adresse mail apparaisse.
Seule solution, passer votre message sur le site quelque temps.
----- Original Message -----
From: jl jouvin To: marc-verat@wanadoo.fr Sent: Monday, January 24, 2011 3:36
AM
Bonjour, Je me permets de vous écrire car je suis allée plusieurs fois sur le site
des Beaux arts de Reims où j'ai vu des photos de Marylène Appert Colin qui y était dans les années
1965 68. J'ai travaillé avec elle au Bon Marché de 1971 à 1975 nous étions
maquettistes et c'était un plaisir de travailler ensemble. J'ai perdu sa trace après la naissance de sa fille lorsqu'elle
est partie en Belgique et malgré des recherches je n'ai pu la retrouver. La soixantaine étant l'age de la nostalgie du
passé, je me tourne vers vous car vous avez peut être de ses nouvelles par des anciens élèves ou tout au moins une piste
pour la retrouver, je sais que sa famille habitait Reims. Je vous remercie par avance si vous avez un moment pour répondre à ce
mail sincères salutations PATRICIA JOUVIN

http://marieclaudepiette.free.fr
----- Original Message ----- From: Marina
Brétigny To: marc-verat@wanadoo.fr Sent: Monday, January 09, 2012 5:41
PM Subject: Infos sur Guy Brétigny aux Beaux
Arts
Bonjour Mr Verat, Je suis Marina, la fille de Guy. Si je vous écris c'est parce que mon frère et moi travaillons
sur un recueil qui présentera l'ensemble des œuvres de notre père. Pour ce recueil, nous souhaitons faire une introduction présentant les
grandes lignes de sa carrière et nous ne pouvons bien sûr faire l'impasse sur sa
formation aux Beaux Arts de Reims. Je voulais
savoir si vous aviez des informations complémentaires à me fournir le
concernant, par exemple de quelle à quelle année était-il aux B.A., les cours
qu'il a suivis, en fait, tout ce qui pourrait apporter un peu d'eau à notre
moulin ! Je suis preneuse de toutes infos concernant cette époque et son profil
d'étudiant. Nous allons faire éditer le tout dans la première partie de l'année. Si
vous ou l'un de vos anciens camarades d'école est intéressé par un
exemplaire, merci de me le faire savoir. Idéalement, il me faudrait les infos avant le 23 janvier, afin que
nous puissions tout mettre en page avant l'impression. Les
gens peuvent m'envoyer leurs infos, témoignages, photos, etc. à cette adresse
(bretigny_marina@yahoo.fr).
Bien cordialement, Marina Brétigny
Temperas, aquarelles, dessins & poésies
LA CHARITE SUR LOIRE - HOMMAGE A PIERRE DANCETTE Grandes Salles du
Prieuré, 27 avril - 8 mai 2012 L'exposition sera ouverte tous les
après-midis
Bien sûr, il existe
des artistes dont on parle ou dont on a parlé. Il existe aussi ceux, plus
nombreux, dont on ne parle pas, dont on ne parlera peut-être jamais. Bien
sûr, il y a les plasticiens à la mode qui appartiennent à des mouvements
identifiés et rassurants, les décorateurs de l’abstraction qui, finalement,
n’ont pas grand chose à dire. Mais, heureusement, il restera toujours
également quelques peintres hors du temps, avec des histoires à nous
raconter.
http://pierre-dancette.over-blog.com/
Elisabeth STENNE "Pauses tranquilles" Peintures - Exposition du 5 avril au 24 juin 2012 28 grande rue - RICHELIEU
http://elizabethstenne.canalblog.com/
Pour les dernières mises à jour : Elizabeth STENNE cliquez !
Ma mère est décédée le dimanche 18 novembre 2012 après une
longue bataille avec le cancer. My mother passed away on sunday 18th
novembre 2012 after a long battle with cancer. jeancpt@gmail.com
From: Jean Thiebaux To: marc verat Sent: Wednesday, November 21, 2012 9:16
PM
Cher Marc Je veux apporter ma mère en France. Je vais
essayer de garder tout le monde informé et je vous remercie. Cordialement, Jean-Christel Thiebaux

Aujourd'hui 10 novembre 2008, mon électricité vient d'être coupée. Je ne pourrai plus ni vous parler ni vous lire ! Joyeux Noël et bonne année à tous. Chantal Thiébaux - Rosettenville - Afrique du Sud
Bonjour et bonne année Marie-Claude
!
Je viens de passer ton message avec
tes liens que je ne manquerai pas de visiter. J'ai, en même temps retiré
: Marie-Claude PIETTE : http://mcp.rd-h.fr/ Qui n'est plus
actif.
Sent: Friday, January 30, 2015 12:43
PM
Hello, Marc qq
liens d'expos pour mars avril. http://www.bz-art.org/charlie/ http://www.bz-art.org/piette/ et
expo festival d'art postal à Vienne près de Lyon Site : http://unevieunarbre.wordpress.com
En fait je cherchais sur ton site qq nlles pas trouvé. bonnannée
j'espère que tu vas bien bises mcl

"Ici, ni rats ni Katangais", Mai 1968, la Fête est presque finie ! Tout sera remis en cause.
Description : Ecole des Beaux-Arts de Moulins - 1962 1973 - même époque, même atmosphère
http://beaux-arts-de-moulins.over-blog.com/
Le couple Pellus chez Marc Vérat à Pougues-les-Eaux -15/09/2019

envoyé : 7 décembre 2019 à 17:07 de
: Jean Pierre Pellus <jean-pierre.pellus@wanadoo.fr> à :
marc-verat@wanadoo.fr objet : Décès de Daniel Pillant
Daniel,
je t’ai connu en 1967, première année d’école, comme prof de
dessin classique. Nos rapports, au début, étaient un peu tendus, je
te trouvais trop strict, trop exigeant. Mais comme tu avais
raison. Après la récréation de Mai 68, je te retrouve en
deuxième année comme prof de gravure, et, je découvre une autre
facette de ta personnalité, celle d’un homme passionné,
profondément humain, et très investi pour valoriser « l’Objet »,
façonné, élaboré par la main de l’homme. Le trait, la
gravure, ont toujours été omniprésents dans mon esprit, et
continue de l’être dans mes activités, mais je me suis
rendu compte à cette époque que le support était aussi important,
et, au fil des années tu me l’as prouvé dans toutes tes
passions. Maintenant que tu es parti pour d’autres horizons,
d’autres recherches d’objets insolites et exceptionnels, je me
sens seul, mais enrichi d’avoir croisé ton chemin. Adieu
Daniel.

MAISON DE L'OUTIL ET DE LA PENSÉE
OUVRIÈRE - TROYES

https://mopo3.com/



envoyé : 2 août 2020 à 08:54 de : Jean Pierre PELLUS <jean-pierre.pellus@wanadoo.fr> à : Verat Marc <marc-verat@wanadoo.fr> objet : Visite surprise de Stéphane et sa femme Emmanuelle.
Retour de vacances à La londe les maures, nous avons déjeuné ensemble. Après midi trop courte pour évoquer 50 ans de passé. Ils habitent définitivement à la Seyne les Alpes à 40km de Gap. J'ai été très content de le revoir, toujours avec le même humour, et je te remercie vraiment encore une fois car c'est grâce à toi que ces retrouvailles ont pu avoir lieu. A très bientot. J.P.
Envoyé depuis l'application Mail Orange
Au plaisir de nous revoir comme convenu en septembre, ici, à Pougues... Peut-être tous les 4 ?
Souvenirs, suite
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